Ca va de très anciens JDR (Jade Empire de Bioware) jusqu'aux dernières productions (L.A Noire, The Witcher 2).
Objectif: finir un jeu avant de commencer un autre...
Punaise comment tu sais que je jouais à The Wither 2 pendant que ma femme tondait le gazon ce weekend ?GulhDan a écrit:Quel Geek !
Tout ça au lieu de tondre le gazon
BriK a écrit:Punaise comment tu sais que je jouais à The Wither 2 pendant que ma femme tondait le gazon ce weekend ?GulhDan a écrit:Quel Geek !
Tout ça au lieu de tondre le gazon
a écrit:
World of Tanks est un jeu multijoueur de "team battle" (un peu à la Counter Strike) ou chaque joueur incarne un blindé de la seconde guerre mondiale. Au fil des batailles, on acquiert de l'expérience pour son équipage, de l'expérience pour débloquer des améliorations et de nouveaux chars, et des crédits pour acheter ces nouveaux chars. Dit comme ça, ça a pas l'air super sexy, mais je vais essayer de détailler un peu plus pour vous faire comprendre pourquoi quand on y joue, on ne peut s'empêcher de dire "encore une bataille, et j'arrête !".
La partie "gestion":
Au commencement, nous voilà dans notre garage où nous attendent sagement 3 magnifiques blindés (un de chaque camp jouable pour le moment -russe, allemand et américain-). Bon, quand je dis "magnifiques blindés", je rigole bien sûr. Ses premières machines sont lentes, peu manoeuvrables, et armées avec un lance-pierre (les chars sont répartis en 10 tiers, de T1 à T10... et nos premièrs chars sont bien entendus T1). Heureusement, grâce à un habile système de matchmaking, les batailles aléatoires sont relativement équilibrées et également réparties en tiers (en gros, un char T1 ne pourra aller que dans des batailles de T1 à T4... et ne pourra donc pas se retrouver face à un char lourd T10).
Donc nous voilà avec nos trois premières machines offertes gracieusement par le jeu. Ils appartiennent tous à la catégorie des chars légers. Car en plus de son tiers, un char appartient à l'une des catégories suivants: léger, moyen, lourd, tueur de char et artillerie. Chaque char à son utilité sur le champ de bataille donc chaque joueur peut trouver son style... mais j'y reviendrai plus tard.
Donc au fil des batailles, on accumule de l'expérience et des crédits. L'expérience se divise en deux catégories: l'expérience générique et l'expérience propre aux chars. Ainsi, chaque char possède son propre arbre technologique sur lequel dépenser l'expérience. On peut ainsi le doter d'un meilleur armement, d'un meilleur moteur, d'un meilleur chassis (pour supporter un plus gros poids et ainsi mettre de l'équipement plus lourd), d'une meilleure radio (très important pour spotter les chars ennemis et transmettre leur position)... etc... et au bout de l'arbre, il y a l'accès à un nouveau char du tiers supérieur.
Débloquer des améliorations pour son blindé (avec la possibilité de cumuler expérience du char et expérience générique) ne suffit pas pour l'en équiper. Il faut ensuite payer le matériel débloqué avec des crédits. Et si au début, il est facile d'avoir un char Elite (c'est à dire tout l'arbre technologique débloqué), les prix grimpent rapidement si bien qu'il faut réfléchir à ce que l'on veut faire de son char. Les scout privilégieront les équipements améliorant la vitesse et le camouflage, les chars lourds le blindage et l'armement, etc...
A noter que les arbres technologiques (ceux des blindés, comme ceux par nation permettant de voir le cheminement pour débloquer le char de ses rêves) sont très clairs même si au début, la masse des informations peut faire peur (comparez le taux de pénétration d'un canon de 40mm à celui d'un 45mm n'est pas une pratique courante !). Et bien sûr, les chars et le matériel sont rigoureusement historiques, au point que le jeu est une véritable encyclopédie des blindés de la WWII (qui sont au passage fidèlement reproduits !).
Je sais que dis comme ça, ça a l'air très complexe mais rassurez vous, on s'y fait très vite. Il faut juste aimer étudier les chiffres mais la possibilité d'ouvrir plusieurs fenêtres d'équipement en même temps permet de tout comparer d'un seul coup d'oeil. Et sans être un militaire averti, on s'y retrouve facilement.
Chaque char est également doté d'un équipage personnalisé plus ou moins nombreux selon le nombre d'hommes nécessaire à la manoeuvre du blindé. Ils peuvent occuper divers postes (conducteur, chef de char, tireur, radio etc...). Chaque homme commence avec un niveau de 50% et se dirige au fil des batailles vers 100%. Bien sûr, plus le niveau est haut, plus l'équipage est performant (un tireur à 100% rechargera son canon plus vite et tirera avec plus de précision). De plus, à 100%, chaque homme peut se spécialiser afin par exemple de réparer des avaries plus vite, éteindre des incendies plus vite, etc... bref, l'équipage, bien que l'on ait que peu d'influence sur lui, n'est pas à négligé dans la performance globale de son char. A noter que vos bonhommes ne sont spécialisés que sur un char en particulier. Il est possible de les former sur un autre char, mais dès lors, ils perdent une partie de leur niveau (plus ou moins important selon la formation que vous avez les moyens de leur payer avec vos crédits). Et bien sûr, ils ne peuvent piloter que des chars de leur nation; Oleg Petronov ne conduira jamais un Panzer Tiger II ! A noter qu'une fois toutes les améliorations débloqués sur un char, il est possible de convertir l'expérience du char pour accélérer la formation de ses pilotes.
Enfin, je ne m'attarderai pas sur l'achat de divers consommables pour votre blindé: extincteur pour éteindre les incendies, filet de camouflage pour s'embusquer dans les fourrés, munitions mouillées pour diminuer les risques de feux dans le blindé, meilleur affût pour améliorer la visée tout en roulant, et bien sûr divers obus (incendiaires, perces blindages, etc...).
Bref, il y a de quoi déjà bien s'occuper dans le garage et on se surprend à choyer son blindé comme on bichonnerait son personnage de MMO. Maintenant, à moins d'être grand fan de tuning, un char dans un garage, ça sert à rien... Let's go to the battle !
Le champ de bataille:
Les batailles se jouent en 15 vs 15, en capture the flag classique (il s'agit de prendre la base adverse tout en défendant la sienne), et en 15 minutes maxi. Comme je vous l'ai dit, le système de matchmaking aléatoire cherche à équilibrer les batailles si bien qu'un T1 ne croisera jamais un T10 (en général, le niveau max' en face est de +3). Oui mais quand même me direz vous; qu'est ce que mon char léger T1 peut faire contre un char moyen T4 ? Et bien c'est là où le jeu prend toute sa saveur.
En effet, contrairement à un Counter Strike, à WoT, le cerveau prime sur les réflexes. Il faut jouer intelligemment. Chaque char à son utilité:
- Le char léger fait du scouting. Il doit filer dans les lignes ennemis afin de repérer les chars adverses et de communiquer leurs positions à ses alliés. Il doit jouer sur sa vitesse et sa manoeuvrabilité pour éviter le face à face avec les autres chars beaucoup costauds.
- Le char moyen est suffisamment rapide pour scouter, mais son blindage et son armement lui permet également d'être efficace en combat. En général, il se sert de sa manoeuvrabilité pour prendre les chars plus lourd par le flanc ou pour aller chasser l'artillerie qui se cache en fond de terrain.
- Le char lourd est un monstre de feu et d'acier, le big boss du jeu. Mais sa lenteur le destine surtout à faire la défense de la base car le temps qu'il atteigne la base adverse, la partie sera fini. Par contre, en un contre un, il ne craint quasiment personne.
- Le tueur de char est un spécialiste... du massacre de char, vous l'aurez compris aisément au vu de son titre.
- Enfin, l'artillerie joue fond de table: c'est l'arme la plus puissante du jeu mais également celle qui a la plus longue portée. Elle peut bien souvent tirer à l'autre bout de la carte mais dès qu'elle fait feu, elle est immédiatement spottée et peu prendre un tir de contre artillerie en retour de la part des artilleurs adverses. Elle est donc obligée de bouger énormément pour ne pas se faire rusher par les chars légers adverse.
Vous l'aurez compris, il y en a pour tous les styles de jeu. Plus intéressant encore, les dégâts sont localisés. Il est très rare de se faire one shooter, sauf dans le cas d'un tir d'obus qui passerait le blindage et ferait exploser directement les munitions. Il faut donc connaître sont adversaires, ses points faibles, et la jouer tactique. Ainsi, attaquer de face un tank plus gros est quasi vouer à l'échec. Par contre, manoeuvrer pour le prendre par les flancs, ou mieux encore, par derrière, là où le blindage est le moins épais, se révèle nettement plus efficace. De même, face à un char très mobile, détruire ses chenilles pour l'immobiliser est pertinent, un char immobile étant voué à la destruction. Autre technique, le tir dans la tourelle pour la coincer, ce qui est toujours gênant.
Le teamplay est également très important. Ainsi, les chars moyens et lourds mèneront l'assaut, encaissant les tirs adverses pendant que les plus légers contourneront l'ennemi pour attaquer par derrière; de vraies tactiques de MMORPG que l'on ne s'attend pas forcément à trouver dans un jeu de chars !
Les maps sont magnifiques, représentants les villes en ruine du centre de l'allemagne, les grandes steppes russes, les complexes industriels d'Europe de l'est. La musique contribue également à l'ambiance; présente à chaque début de bataille, elle permet de se mettre dans le bain.
Enfin, en plus de l'expérience et des crédits, il y a tout un tas d'exploit à collectionner (scouter un certains nombres d'ennemis, détruire un certains nombres de chars, etc...). Ces exploits sont récompensés par des médailles qui portent le nom de grands tankistes de la WWII (par exemple, j'ai débloqué le trophée du Général Leclerc !). Bref, que du bon...
Des défauts ?
Sincèrement, je n'en vois quasi pas. Le jeu est bien étudié, équilibré, et vraiment addictif ! Par contre, je regrette un petit peu que l'on puisse retrouver dans la même équipe des chars des trois nations. Mon âme d'historien aurait préféré que les allemands jouent ensemble et les alliés entre eux. Ici, un Tigre II peut parfaitement faire équipe avec un T-44 russe tout en étant couvert par un sherman américain ! Mais c'est vraiment minime...
En vrac...
Je rajouterai que le jeu est Free to play (le vrai argent débloquant des crédits or qui donnent deux ou trois petits avantages mais qui ne déséquilibrent pas le jeu). Par contre, l'abonnement permet d'accéder au clan war, une vaste guerre par équipe sur une carte d'Europe. Mais là, c'est vraiment pour le jeu en compétition par équipe.
Enfin, les développeurs ont l'air de bien suivre leur jeu qui rencontre un franc succès. Ainsi, les chars français devraient bientôt faire leur entrée sur le champ de bataille et les japonais sont programmés...
Voiloù...
Pour s'inscrire, c'est par là:
http://www.worldoftanks.com/
a écrit:L.A Noire est le dernier blockbuster de Rockstar, célèbre studio qu'on ne présente plus. Mais en l'occurrence, malgré ses faux airs de GTA côté « law and order », L.A Noire a été développé par une équipe toute jeune dont il s'agit là d'une des toutes premières oeuvres.
L'histoire se déroule au sortir de la seconde Guerre Mondiale et vous propose d'incarner Cole Phelps, ancien officier du corps des Marines, décoré durant la guerre, et ayant décidé de mettre ses compétences au service du public en rejoignant les rangs du Los Angeles Police Department après sa démobilisation. Charismatique et athlétique, notre héros commence alors sur le terrain, comme simple patrouilleur, mais rapidement, son sens inné de l'observation et sa droiture ne tarderont pas à attirer l'attention de ses supérieurs si bien qu'on accédera assez vite au grade de détective (inspecteur). Dans un premier temps affecté à la Brigade des véhicules volés, Cole aura l'occasion par la suite de rejoindre d'autres brigades comme les Moeurs ou la prestigieuse Criminelle. Mais derrière ses apparences de héros « premier de la classe », on devine un personnage beaucoup plus torturé qu'il n'y paraît sous la forme de flashback en noir et blanc qui nous conte l'histoire de notre avatar durant la guerre. Bref, un personnage principal beaucoup moins lisse qu'il n'y paraît comme Rockstar aime à nous mettre entre les pattes.
D'ailleurs, même si on incarne ici un agent de la loi tendance incorruptible (du moins, pour le moment, je n'ai pas vu de choix nous permettant de jouer un « ripou »), le jeu se veut un polar sombre. Derrière le strass, les paillettes, et sa prospérité d'après guerre, Los Angeles est une cité pourrie, corrompue, raciste, mafieuse... Cela se sent dans les crimes sordides sur lesquels nous aurons à enquêter tout au long du jeu, mais également dans tous ses détails que Rockstar se complait à mettre dans ses productions; les dialogues sonnent justes, avec ce qu'il faut d'insultes et de maturité, on a la possibilité de jouer en noir et blanc pour l'ambiance vieux polar, et le menu principal mettant en scène une ruelle sordide sous la pluie dans laquelle se découpe l'ombre d'un homme donne tout de suite le ton... Bref, je n'avais jamais été autant saisi d'entrée depuis Heavy Rain (et vous savez à quel point j'ai aimé ce jeu !).
Pour autant, l'action ne se déroule pas exclusivement de nuit et sous la pluie (on est en Californie tout de même !) et on aura l'occasion d'arpenter la Cité des Anges de jour sous le soleil. Je ne reviendrai pas sur le talent de Rockstar pour rendre la ville vivante ! On sait de quoi ils sont capables en la matière et avec L.A Noire, on a l'impression qu'ils ont franchi encore un niveau; artères bondées de véhicules et de piétons, monuments historiques... La ville est reproduite fidèlement, avec tous les détails de l'époque, et c'est un réel plaisir de l'arpenter à pied comme en voiture.
Toutefois, contrairement à un GTA, ici, l'heure n'est pas à la villégiature. Bien qu'il soit parfaitement possible de vagabonder dans la ville (et même de réquisitionner des voitures de particuliers) et de chercher les « secrets » disséminés ici ou là (type « journaux » ou « bobines de film »), la ville ne nous paie pas à rien foutre. Il est donc temps de justifier son salaire en s'attaquant au point clé du jeu...
Les enquêtes:
C'est là le coeur du jeu et là dessus que Rockstar a basé toute sa com'. Régulièrement, le Chef de Brigade confiera un dossier d'enquête à votre binôme (vous et un équipier quoi). A partir de là, à vous de tout mettre en oeuvre pour comprendre qui est le ou la coupable. Invariablement, les enquêtes tournent autour de trois grands axes que je vais détailler ci-dessous.
L'examen de la scène de crime: arrivé sur les lieux du crime, Cole devra récupérer toutes les « evidences » présentes sur le lieu; l'arme du crime, des documents, des papiers, et que sais je encore... Une petite vibration se fait sentir dans la manette dès lors que Cole est à proximité d'un indice et une simple pression sur une touche permet d'y regarder de plus près. De même, une musique accompagne tout examen de scène de crime et elle disparaît dès lors que tous les indices ont été trouvés. Bien entendu, ces aides sont désactivables pour les puristes. En général, les indices permettent d'ouvrir de nouvelles pistes (des témoins à interroger, de nouveaux lieux à explorer, etc...).
L'interrogatoire des témoins: les « experts » étant plutôt limités en 1947, la collecte de renseignements s'avèrent l'atout numéro 1 de notre détective. Il pourra donc à loisir interroger toute personne utile à son enquête. Les phases de dialogues sont incroyables de réalisme grâce aux voix toujours dans le ton (en V.O.S.T) et surtout à un magnifique travail d'animation faciale. Ainsi, après chaque réplique de son interlocuteur, on aura le choix entre vérité, doute et mensonge. Vérité indiquera que vous croyez le témoin, doute vous laissera dans l'incertitude quand à la véracité de ses propos, et mensonge vous permettra d'accuser le témoin de mentir ce qui pourra entrainer diverses réactions. Ainsi, croyant déceler le mensonge d'une de mes témoins clés dans une affaire d'homicide, je l'ai accusé de mensonge et elle s'est indignée, fermée comme une huitre... et je n'en ai plus rien tiré !
L'interrogatoire de suspect est la troisième grande phase de l'enquête et fonctionne comme l'interrogatoire de témoin si ce n'est qu'ici, le but sera d'obtenir des aveux... chose qui s'avèrera plus ou moins facile selon le nombre de preuves matérielles qui seront en votre possession au moment d'interroger le suspect.
Soyons honnête, si les mécanismes de jeu sont « simplistes », mener l'enquête s'avèrent véritablement « jouissif » grâce notamment à la personnalité des témoins / suspects et à l'excellent travail de modélisation. Il est vraiment possible de deviner si un interlocuteur vous ment en observant attentivement ses réactions à vos questions... mais il arrive aussi de se tromper ! Mieux encore, chaque enquête peut conduire à une conclusion totalement différente en fonction des preuves matérielles que vous accumulerez, des indices que vous obtiendrez des témoins... Bref, vous pouvez finir par inculper un innocent !!! Comme je suis un excellent flic, cela ne m'est pas encore arrivé, mais il y a véritablement plusieurs fins à chaque enquête...
A noter que pour chaque enquête, vous recevez une note de 1 à 5 étoiles et qu'il est possible de refaire une enquête que vous avez terminé.
On notera également la présence de deux outils indispensables à votre enquête, à savoir un petit carnet dans lequel sera consigné toute les personnes, tous les indices, et tous les lieux liés à l'enquête en cours, et des « points d'intuition ». Ces points s'acquièrent en accumulant de l'expérience (qui elle-même s'obtient en collectant toutes les preuves sur une scène de crime ou en réussissant l'interrogatoire d'un suspect) et permettent de vous aider dans les moments clés de l'enquête en vous révélant par exemple tous les indices à trouver dans une scène ou éliminant des réponses inappropriées durant un interrogatoire.
Je ne suis qu'au début du jeu et pour le moment, il faut bien reconnaître que les enquêtes sont relativement faciles. Je n'ai pas encore rencontré de cas m'ayant posé soucis mais je n'ai fait que 5 enquêtes sur 25 donc je pense que j'ai encore le temps de voir des vrais dossiers (je suis encore aux véhicules volés pour le moment).
Autre « petite » déception, on ne peut passer à une enquête qu'après avoir terminé la précédente. On y perd un peu en liberté mais on y gagne en scénarisation et notamment dans les flashbacks de Cole Phelps.
Activités annexes:
A côté des enquêtes principales, il arrive parfois que la radio de bord crépite alors que vous vous rendez d'un point à un autre. C'est alors l'occasion de faire hurler la sirène et de filez à tout allure au travers des rues de L.A pour mettre fin à un cambriolage ou pour interpeller des mafieux.
Ces « quêtes annexes » sont au nombre de 40 et se terminent invariablement en gunfight. L'occasion de faire parler la Thompson ! On regrettera le manque de diversité de ces interventions mais encore une fois, elles sont toutes magnifiquement scénarisées... Par contre, il n'y aura pas de négociations possibles avec les malfrats ! Quoiqu'il en soit, après avoir fait chauffer ses méninges, échanger quelques tirs avec des gangsters fait toujours du bien...
En conclusion...
Sans être révolutionnaire, L.A Noire est un excellent jeu pour qui aime les jeux d'ambiance et à l'univers crédibles. Il n'est peut être pas aussi innovant que ce que les previews avaient laissé penser, mais pour tout ceux qui aiment les polars, c'est un must have. Perso, c'est tout à fait le style de jeu que j'adore !
Jeu vidéo ou jeu de figurines ?SUPERTIMOR a écrit:Y a t il des joueurs de Hordes ici ?