L'Innocence
Au départ, on sait pas... On sait que ça existe mais bon.. on hésite, on regarde les autres coachs et on se dit que le jeu n'en vaut pas la chandelle. Et puis on préfère garder ses joueurs sur le terrain ! Après coup, on se dit qu'on aurait pu le faire aussi ? "Oh NON ! le foul c'est le mal ! Moi je joue et je gagne noblement !"
Plus tard, au bout de quelques matchs, on demande timidement : "et toi tu foules ? " "Moi ? Non non ! ja-mais"
"Bon tant mieux, car moi j'aime pas ceux qui foulent, car on est là pour s'amuser !"
"ah oui, on s'amuse"
La Colère
Et puis vient la révélation, la lumière, celle au bout du tunnel... LE match, où tout bascule.
LE match pendant lequel notre équipe fétiche, que l'on a élevée au rang du star system, s'est faite pulvériser, avec du foul à tous les tours...
Alors on pleure, on enrage, on couine ! Ca fait mal, la première fois ! Et on a perdu à cause de cette lâche vilainie, pas à cause de sa technique de jeu ! JAMAIS JE NE LE FERAI ! JE SERAI MEILLEUR !
La Tentation
On y réfléchit, à ce massacre... Le temps passe, l'émotion aussi, et reste le goût amer.. Si jamais... ? La curiosité nous appelle.. Elle nous guide, elle nous tente ! Alors, un jour, on feint l'innocence : crackeu ! Dans la tête de son receveur qui était à terre ! "oh j'ai pas fait exprès, missclick, désolé.. et j'ai mon chat sur le clavier en plus... saleté d'chat ! "
Mais une douce châleur nous envahit, vite refoulée par notre Tartuffe intérieur. NON c'est le mal ! pas le foul ! Pas ça ! Pas moi !
La Chute
Mais plus les matchs passent, et plus les agressions se rapprochent. Et on se complait à trouver des excuses pour le faire.
Tantôt ce sera le chat l'accusé, tantôt ce sera la faute au jeu, tantôt la souris...
Mais c'est trop tard... On se sent bien quand on foule... et plus on foule, plus on a envie de fouler...
La Révélation
Crack, le joueur adverse à pris un ptite cramponnade dans la tête... gniark. bien fait ! Et encore plus que le doux bruit de l'os qui fend sous le pied, les jérémiades du coach adverse sont autant de jouissance; et plus ça couine, plus on foule... Les matchs n'ont plus la même saveur, on foule à tous les tours, même le 16eme, c'est le plus jouissif. Et quand on a rien à faire sur le terrain, on foule encore... et encore un ptit pour la route.. Les coachs se plaignent, et nous accusent. Quoi ? c'est moche de fouler ? TIENS ! CRACKEU ! MAINT'NANT C'EST LA TÊTE DE TON COUREUR QU'EST MOCHE !
HAHAHHAAAAA ! HAHAHAAAA !! CRACKEUUUUU !
______________________________________________________
Le foul c'est quoi ?
- rentabiliser une action de mouvement en augmentant ses chances de gagner la supériorité numérique
- un agréable moment entre potes d'une même équipe : partager un foul, cela aide à souder des liens amicales entre les joueurs et cela améliore la coordination - cela aide à décrotter les crampons de bloodbowl, souvent salis par des terrains peut engageant !
-16 % 33% de chance de se faire sortir à chaque fois : le tout c'est de bien préparer son agression pour être sûr de blesser le joueur à terre. Un elfe sera toujours agressé à 2 voire 3 pour cela, un troll à 4.
- Dirty est beaucoup plus simple à avoir que le block châtaigne griffe, et tout aussi efficace, car contrairement à beaucoup d'autres compétences, dirty fait peuuuuuur !
Oui mais on foule qui ?
- tout le monde. fouler les plus fragiles et les plus mobiles de l'équipe, ou foulez les éléments clefs de l'attaque (lanceur block précision, blitzer chaîtaigne griffe, receveur blodgeur sprint, etc). Mais on peut fouler tout le monde, c'est bien aussi.
- tout le temps. Oui au tour 16 aussi, mais laissez le temps à l'adversaire d'exprimer tout son ressenti, ça aide beaucoup à passer une agréable 3eme mi temps
D'accord mais pourquoi fouler ?
- "Pour la peur, pour les pleures, et pour qu'ils meurent" j'ai envie de dire. En effet, si l'adversaire a peur, vous avez gagné l'ascendant psychologique et donc une grande part du match (attention, la psychologie de certain coachs étant limitée, cela n'aura que peu d'effet par la suite ; dans le doute, foulez lui ses joueurs). S'il pleure, c'en est fini de lui, il aura le qualificatif de "momotte pleureuse" pendant des années. Et si les joueurs adverses sont sortis, c'est que du bonheur !
- pour agrémenter une partie, comme le sel, le piment d'Espelette, les épices, le ketchup, la mayo, etc., agrémentent les plats. A la différence que vous ne vous servez pas de la salière ensuite pour l'introduire dans l'adversaire !
- pour entendre le doux son de la voix tremblotante de votre adversaire vous suppliant de stopper. Et en plus, s'il déclare forfait, c'est tout bénéf' pour vous
Si je gagne, dois-je continuer à fouler ?
- oui, au cas où ce serait un manipulation mentale et qu'en réalité vous perdez
Je contrôle le match je mène 4-0 et il ne reste à mon adversaire que 3 joueurs sur le terrain. Dois-je continuer à fouler
- Rhaaaa le choix cornélien... C'est à vous de décider, c'est selon votre style de jeu. En attendant que vous ayez trouver votre voie, foulez les joueurs adverses.
Trois bonnes raisons de fouler même si l'équipe que j'affronte doit jouer contre mon principal adversaire au prochain match, et donc doit gagner pour m'assurer la victoire :
1 - ceci est un doux rêve corollaire de la drogue que vous avez ingurgitée à la taverne lorsque vous trinquiez avec ces sales gob ! La réalité, c'est que VOUS DEVEZ GAGNER CE MATCH ! Le sport, ou l'activité physique en général, élimine les toxines du corps. Foulez encore plus à la fin de vos déplacements et éliminez cette drogue que vous ont fait ingurgiter ces sales gobs, en plus des joueurs adverses !
2 - Vous pensez trop, et vous n'arrivez plus à bien penser calmement : fouler 2 à 3 adversaires par jour vous permettra de retrouver votre calme et la sérénité nécessaire au Bloodbowl. Foulez !
3 - Si jamais vous ne foulez pas et que l'équipe perd son match, vous aurez les boules. Foulez maintenant, vous êtes sûrs de passer un bon moment.
L'arbitre expulse tous mes joueurs
Foulez le aussi
Au départ, on sait pas... On sait que ça existe mais bon.. on hésite, on regarde les autres coachs et on se dit que le jeu n'en vaut pas la chandelle. Et puis on préfère garder ses joueurs sur le terrain ! Après coup, on se dit qu'on aurait pu le faire aussi ? "Oh NON ! le foul c'est le mal ! Moi je joue et je gagne noblement !"
Plus tard, au bout de quelques matchs, on demande timidement : "et toi tu foules ? " "Moi ? Non non ! ja-mais"
"Bon tant mieux, car moi j'aime pas ceux qui foulent, car on est là pour s'amuser !"
"ah oui, on s'amuse"
La Colère
Et puis vient la révélation, la lumière, celle au bout du tunnel... LE match, où tout bascule.
LE match pendant lequel notre équipe fétiche, que l'on a élevée au rang du star system, s'est faite pulvériser, avec du foul à tous les tours...
Alors on pleure, on enrage, on couine ! Ca fait mal, la première fois ! Et on a perdu à cause de cette lâche vilainie, pas à cause de sa technique de jeu ! JAMAIS JE NE LE FERAI ! JE SERAI MEILLEUR !
La Tentation
On y réfléchit, à ce massacre... Le temps passe, l'émotion aussi, et reste le goût amer.. Si jamais... ? La curiosité nous appelle.. Elle nous guide, elle nous tente ! Alors, un jour, on feint l'innocence : crackeu ! Dans la tête de son receveur qui était à terre ! "oh j'ai pas fait exprès, missclick, désolé.. et j'ai mon chat sur le clavier en plus... saleté d'chat ! "
Mais une douce châleur nous envahit, vite refoulée par notre Tartuffe intérieur. NON c'est le mal ! pas le foul ! Pas ça ! Pas moi !
La Chute
Mais plus les matchs passent, et plus les agressions se rapprochent. Et on se complait à trouver des excuses pour le faire.
Tantôt ce sera le chat l'accusé, tantôt ce sera la faute au jeu, tantôt la souris...
Mais c'est trop tard... On se sent bien quand on foule... et plus on foule, plus on a envie de fouler...
La Révélation
Crack, le joueur adverse à pris un ptite cramponnade dans la tête... gniark. bien fait ! Et encore plus que le doux bruit de l'os qui fend sous le pied, les jérémiades du coach adverse sont autant de jouissance; et plus ça couine, plus on foule... Les matchs n'ont plus la même saveur, on foule à tous les tours, même le 16eme, c'est le plus jouissif. Et quand on a rien à faire sur le terrain, on foule encore... et encore un ptit pour la route.. Les coachs se plaignent, et nous accusent. Quoi ? c'est moche de fouler ? TIENS ! CRACKEU ! MAINT'NANT C'EST LA TÊTE DE TON COUREUR QU'EST MOCHE !
HAHAHHAAAAA ! HAHAHAAAA !! CRACKEUUUUU !
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Le foul c'est quoi ?
- rentabiliser une action de mouvement en augmentant ses chances de gagner la supériorité numérique
- un agréable moment entre potes d'une même équipe : partager un foul, cela aide à souder des liens amicales entre les joueurs et cela améliore la coordination - cela aide à décrotter les crampons de bloodbowl, souvent salis par des terrains peut engageant !
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- Dirty est beaucoup plus simple à avoir que le block châtaigne griffe, et tout aussi efficace, car contrairement à beaucoup d'autres compétences, dirty fait peuuuuuur !
Oui mais on foule qui ?
- tout le monde. fouler les plus fragiles et les plus mobiles de l'équipe, ou foulez les éléments clefs de l'attaque (lanceur block précision, blitzer chaîtaigne griffe, receveur blodgeur sprint, etc). Mais on peut fouler tout le monde, c'est bien aussi.
- tout le temps. Oui au tour 16 aussi, mais laissez le temps à l'adversaire d'exprimer tout son ressenti, ça aide beaucoup à passer une agréable 3eme mi temps
D'accord mais pourquoi fouler ?
- "Pour la peur, pour les pleures, et pour qu'ils meurent" j'ai envie de dire. En effet, si l'adversaire a peur, vous avez gagné l'ascendant psychologique et donc une grande part du match (attention, la psychologie de certain coachs étant limitée, cela n'aura que peu d'effet par la suite ; dans le doute, foulez lui ses joueurs). S'il pleure, c'en est fini de lui, il aura le qualificatif de "momotte pleureuse" pendant des années. Et si les joueurs adverses sont sortis, c'est que du bonheur !
- pour agrémenter une partie, comme le sel, le piment d'Espelette, les épices, le ketchup, la mayo, etc., agrémentent les plats. A la différence que vous ne vous servez pas de la salière ensuite pour l'introduire dans l'adversaire !
- pour entendre le doux son de la voix tremblotante de votre adversaire vous suppliant de stopper. Et en plus, s'il déclare forfait, c'est tout bénéf' pour vous
Si je gagne, dois-je continuer à fouler ?
- oui, au cas où ce serait un manipulation mentale et qu'en réalité vous perdez
Je contrôle le match je mène 4-0 et il ne reste à mon adversaire que 3 joueurs sur le terrain. Dois-je continuer à fouler
- Rhaaaa le choix cornélien... C'est à vous de décider, c'est selon votre style de jeu. En attendant que vous ayez trouver votre voie, foulez les joueurs adverses.
Trois bonnes raisons de fouler même si l'équipe que j'affronte doit jouer contre mon principal adversaire au prochain match, et donc doit gagner pour m'assurer la victoire :
1 - ceci est un doux rêve corollaire de la drogue que vous avez ingurgitée à la taverne lorsque vous trinquiez avec ces sales gob ! La réalité, c'est que VOUS DEVEZ GAGNER CE MATCH ! Le sport, ou l'activité physique en général, élimine les toxines du corps. Foulez encore plus à la fin de vos déplacements et éliminez cette drogue que vous ont fait ingurgiter ces sales gobs, en plus des joueurs adverses !
2 - Vous pensez trop, et vous n'arrivez plus à bien penser calmement : fouler 2 à 3 adversaires par jour vous permettra de retrouver votre calme et la sérénité nécessaire au Bloodbowl. Foulez !
3 - Si jamais vous ne foulez pas et que l'équipe perd son match, vous aurez les boules. Foulez maintenant, vous êtes sûrs de passer un bon moment.
L'arbitre expulse tous mes joueurs
Foulez le aussi
Dernière édition par KorTeX le Mer 7 Avr - 7:38, édité 3 fois