La porte, en chêne massif et superbement décorée, avait, il y a quelques jours attiré le capitaine des Gwen Ha du. De réputation déjà, la cabal résonnait de plus en plus dans ses oreilles pointues. Bon ca ressortait aussi vite que ca rentrait, mais bordel, un orque est un orque. Bref, après avoir convoqué l'ensemble de l'équipe, nous nous retrouvâmes enfin devant l'entrée de la prestigieuse cabalvision (vous avez vu, je flatte la bête heing, rhooo le fourbe).
-"Oui c'est ici qu'il faut frapper, mais doucement hein, faudrait pas pêter les moulures elfiques avant d'avoir dit bonjour".
-"COch coch, coch, je peux frapper moi ?"
Le gob de l'équipe venait sournoisement de se glisser au premier rang, entre les jambes de 2 orques noirs, occupés à se cogner pour savoir qui allait être capitaine. (Cette technique est régulièrement utilisée pour motiver les joueurs).
-"Heun non toi, tu fais rien du tout saleté de minus, tu fermes ton claque m... et tu rentres dans le rang, et va plutôt me chercher le troll, on va voir si ce gros sac pourra servir dans le futur"
Un quart d'heure plus tard, le troll arrive, en laisse car il venait de manger la précédente.
La bagarre devant la porte est maintenant généralisée, l'ensemble des protagonistes ne sachant plus exactement pourquoi ils se tapent, mais ils le font, et bien en plus.
Le troll s'avance majestueusement (ou plutôt violemment, en distribuant châtaignes pour se dégager un passage) et se plante devant la porte. Le calme revient car chacun veut comprendre ce que la bête va faire. Peut être pourra elle intégrer l'équipe, si jamais elle réussit l'épreuve. Le temps passe, et les mouches sont revenues en nombre sur les oreilles des orques, dérangées dans leur festin par la rixe.
Le troll ne bouge toujours pas.
-"Mais qu'est ce qu'il fout, coch ?"
Un gigantesque filet de salive suinte au sol, preuve que notre troll vient de s'endormir. -"Génial, ce con est tellement gros qu'il est impossible de frapper à la porte, bref on va attendre qu'elle s'ouvre, vous pouvez toujours manger le gob pour patienter."…
Un quart d'heure plus tard, le troll arrive, en laisse car il venait de manger la précédente.
La bagarre devant la porte est maintenant généralisée, l'ensemble des protagonistes ne sachant plus exactement pourquoi ils se tapent, mais ils le font, et bien en plus.
Le troll s'avance majestueusement et se plante devant la porte, puis plus rien. Le calme revient car chacun veut comprendre ce que la bête va faire. Peut être pourra elle intégrer l'équipe, si jamais elle réussit l'épreuve. Le temps passe, et les mouches sont revenues en nombre sur les oreilles des orques, dérangées dans leur festin par la rixe.
Le troll ne bouge toujours pas.
-"Mais qu'est ce qu'il fout, coch ?"
Un gigantesque filet de salive suinte au sol, preuve que notre troll vient de s'endormir. -"Génial, ce con est tellement gros qu'il est impossible de frapper à la porte, bref on va attendre qu'elle s'ouvre, vous pouvez toujours manger le gob en attendant"...